1 mai 2016
Luigi Pirandello, La vie que je t’ai donné, La vit ache ti diedi, Avant-scène théâtre, 15 février 2016, n° 1398
Théâtre simple, théâtre vrai, théâtre de la parole, dérangeant car miroir o se reflète la folie de chacun. Tel est le théâtre de Pirandello.
Donna Anna est mise à nu par la mort de son fils, qu’elle refuse. Il est omniprésent, dans la tête de sa mère, et donc vivant et son absence devient alors un personnage à part entière. Elle dessine le portrait du défunt. Quand sa maitresse survient, comment nier la cruelle réalité ?
Une pièce perturbante sur la maternité, le refus de la mort, la folie.
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