Helen Barenton, Kilomètre 113 sur l’autoroute A4, 2dition H2Q (Hugues de Queyssac), 436 pages
Ce livre m’a été prêté par une collègue rémoise, en souvenir de mes années passées dans cette ville pour mes études. Mais ici la ville n’est pas mise en valeur, contrairement aux personnages et à l’intrigue.
Parlons-en des personnages et de l’histoire. Ils vont vous rendre dingue !
Un homme sans papier d’identité se jette du haut d’un pont. Suicide raté. Deux mois de coma. Des séquelles physiques à vie. Personne ne le réclame. Avec lui, à ses côtés, nous nous battons pour qu’il se rééduque et retrouve sa vie d’avant, une vie ‘’normale’’. Et c’est là que nous entrons dans le vif du sujet.
Je ne peux pas en dire sur la suite de l’intrigue. Helen Barenton nous entraine…..je ne sais pas comment définir ce ressenti. De nombreuses questions se soulèvent, on croit trouver et comprendre les réponses, quand, patatras, d’autres trucs clochent et nous interrogent. Elle nous embrouille, nous emmenant à la limite de la folie, pour, au final…
Qu’est-ce que vous croyez, que j’allais vous le dire ?
Un petit bémol. J’aurais apprécié un suspens plus intense, dès le début, et cela aurait été parfait. Bref, une histoire de fou !