Karine Giébel, De force, Belfond, 521 pages

Suspens, enquête psychologique, les termes sont adéquats pour qualifier ce roman, dernier né de Karine Giébel.

Certains disent que ce roman n’a pas la force de Meurtres pour rédemption, que je viens tout juste d’attaquer, je ne peux donc pas encore juger, mais je peux vous assurer qu’il m’a néanmoins transporté.

Habituellement, je résume le début de l’ouvrage, mais là, je dois m’en abstenir,  car un esprit habitué aux thrillers risquerait de faire le lien  trop vite entre les différents éléments.

Sachez qu’on plonge très vite dans la tension, dans un drame familial au cœur d’une toile qui se tisse, enserrant tous ses personnages dans ses filets.

J’ai très vite compris le truc, mais cela ne m’a pas empêchée  de rester  scotchée au livre, n’ayant qu’une hâte, voir jusqu’où cela allait aller et vérifier si mon hypothèse de lecture émise à la fin du chapitre 1 était la bonne.

A cause de ce livre  j’ai eu bien du mal à accomplir mes tâches cuisinières et jardinières prévues le jour de la lecture, mais celles-ci m’ont au moins permis de réfléchir à l’intrigue. Et pour une fois, je n’étais pas loin du bon raisonnement. 

Je serai donc présente à la dédicace prévue ce vendredi 17 juin à 17h à la librairie du Château de Brie-Comte-Robert. Je ne voudrais pas raté ça !