Elizabeth George, Un goût de cendres, Presses de la Cité, 1994.
Titre original: Playing for the Ashes. Traduction de Dominique Wattwiller.
Un jour en matinée, un livreur de lait découvre les traces d’un incendie dans une propriété dans laquelle il livre le lait quotidiennement. La police prévenue découvre un corps mort par asphyxie.
C’est le premier livre de cette auteure que je termine, je ne connais donc pas ses personnages récurrents. L’inspecteur Linley et le sergent Barbara Havers enquêtes alors dans un monde très varié. Le mort n’est pas celui que craignait le livreur, alors, qui est-il ? Que venait-il faire chez la pensionnaire du lieu ?
Toutes les strates de la société se croisent ici : joueur national de cricket, professeure à la retraite, riche sponsor d’équipes sportives, droguée et prostituée, familles décomposées et enfants en déroute…Derrière un certain vernis qui se craquèle apparait une Angleterre underground ?
Et au cœur de tout cela, l’amour. L’amour dans le couple, l’amour entre amant, l’amour qui empoisonne, l’amour parents / enfants (père-fils, mère fille).
Un roman que je n’ai pas lâché.