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Une fille avec un livre
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10 mai 2017

James Joyce, Ulysse, traduction de Jacques Aubert, folio classique, 1659 pages.

Ulysse

Voici un livre qui m’a donné du fil à retordre, et pourtant, je me suis accroché.

J’ai commencé ce roman tranquillement comme à mon habitude, et très vite je me suis demandée où l’auteur cherchait à nous emmener. Je ne parvenais pas à me projeter dans l’intrigue. La première remarque qui m’est venue à l’esprit est ‘’mais c’est surréaliste, ce truc !’’.

Effectivement, on note un très important travail sur la langue, des créations de mots, des associations d’idées qui m’ont déroutée.

J’ai alors provisoirement laissé tomber le roman pour me plonger dans la préface, que je garde habituellement pour la fin, afin de garder l’effet de surprise de l’intrigue. J’espérais mieux comprendre où l’auteur voulait nous emmener, et quel était son objectif. Ces pages m’ont redonné de l’intérêt pour le roman. J’y suis alors retournée pleine de bonne volonté. Mais la difficulté était toujours là. Pour comprendre les très nombreuses allusions littéraires qui parsèment toutes ces pages, je me suis régulièrement reportée aux notes en fin d’ouvrages, qui sont celles de l’édition de La Pléiade, donc très riches. J’ai tout avalé. Notes, notices, schémas pour comprendre l’intrigue…..

J’ai compris le principe, ce que l’auteur a cherché à faire, le style….je me suis renseignée sur l’auteur… En vain. J’ai mis trois semaines. Je n’ai pas accroché. J’ai encore Les gens de Dublin à lire, j’espère que le style sera différent.

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