Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Une fille avec un livre
Une fille avec un livre
Publicité
Archives
Pages
29 mars 2018

Sui Ishida, Tocky Gouh, volume 1, Glénat, 221 pages.

Tokyo goule

 

Voici une découverte pour moi, aussi bien le genre manga que ce type d’histoire fantastique. Mais une de mes élèves de terminale professionnelle avait cité cet ouvrage comme référence dans une compétence d’écriture. Comme je ne le connaissais pas, elle s’est  proposé de me le prêter.  Et je suis donc partie à la découverte.

Ken Kaneki est un étudiant de 18 ans en première année de littérature japonaise à Tokyo. Des humains sont régulièrement retrouvés assassinés, ils servent de nourriture aux ghoules, qui ne peuvent manger que des humains morts. Comment reconnaitre ces intrus qui ne sont pas sans rappeler un peu les vampires de la littérature occidentale ?

Les Ghoules sont trompeuses car elles peuvent prendre l’apparence humaine pour mieux s’approcher de leur proie. Mais quand la faim prend le dessus, leur attaque est foudroyante, leurs ongles acérés.  Ken est séduit par une jeune fille. Dans un hangar qui s’effondre sur eux, elle est tuée, ses blessures sont trop importantes pour être régénérées. Et Ken ne doit sa survie qu’à un chirurgien qui prend sur lui de lui greffer en urgence un rein de cette jeune fille. Mais ce que tout le monde ignorait, c’était que LIze était une ghoule.

Que se passe-t-il quand on greffe un organe de Ghoule  à un humain ? Comment Ken va-t-il supporter les changements qui s’opèrent en lui, notamment concernant son alimentation ? Peut-il perdre son humanité pour assouvir une faim qui le tenaille ?

Alors, la seule question qui mérite vraiment une réponse, encadrée dans le cours de ce volume un est la suivante : « transplantation sans autorisation : le chirurgien est-il responsable ? (p 51) C’est de cet acte que découle toute cette histoire et les volumes qui vont suivre…Alors… ?

Pas vraiment ma tasse de thé, mais du moment que les élèves lisent, je préfère cela à rien du tout.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité