4 décembre 2017
Ian Manook, Mato Grosso, 313 pages, Albin Michel.
Je ne connais pas l'Amérique du sud, mais avec Mato Grosso, j'ai senti la moiteur et la touffeur tropicale, l'odeur forte des hommes et des femmes, la violence des soirées au Bar Internacional. Pourquoi là-bas? Parce que Haret, écrivain auteur d'un seul...