28 novembre 2016
Antoine Rault, La danse des vivants, Albin Michel, 496 pages.
Addictif. On s’attache à ce personnage, on voudrait ne pas le quitter, surtout que nous, lecteur, nous savons sur son identité des choses que lui-même ignore, ce qui le rend plus attachant. Deux aspects sont intéressants ici. Le cas individuel, celui...