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Une fille avec un livre
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17 août 2017

Une question de culture…

Des petits séjours assez fréquents en Belgique m’ont permis de faire une observation. Et celle-ci s’est répétée dans de nombreuses petites villes et villages. Cela n’est évidemment pas valable dans les immeubles urbains.

Quand nous arrivons en France chez quelqu’un, on sonne et on attend au portail que l’ami vienne nous ouvrir. Chaque propriété de particulier est délimitée par un mur, un muret, une barrière, un grillage, et surtout, un portail ! Ah ! Notre portail que nous tenons tous soigneusement clos ! Typiquement français !

En Belgique, le devant de la propriété est souvent délimité par un petit muret ou par des plantes, pas de hauts murs, pas de grillage, pas de portail fermé occultant complètement la vue.

J’ai visité la Sente des hydrangées un jardin privé ouvert sur RV aux visiteurs intéressés par 7000m² mettant en valeur les hortensias. Le seul mur est tout au fond du terrain. Sur le côté, des arbres ornementaux établissent seuls la limite, servant de fond aux compositions florales plantées devant.

Alors, au printemps, les chevreuils, par famille entière, sont de passage, venant du bois voisin. Certes, ils font des ravages sur les tendres bourgeons des rosiers, hydrangeas, et certaines vivaces n’y résistent pas ! Mais les propriétaires n’ont aucunement l’intention de clôturer !

Quantité de petites maisonnettes et de lotissements ruraux ou périurbains sont sur le même modèle.

Une question de culture, de confiance, d’état d’esprit ? J’ai l’impression qu’ici nous verrions disparaitre les outils et les vélos restés à la vue ! Ou est-ce que je me fais des idées, amis belges ?

 

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